Essais. Rome, démocratie impossible ?







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L'esclavage, en France, aujourd'hui, Les documents d'information de l'Assemblée Nationale, nº 3459,2001. Le 25 septembre 1926, dans la convention relative à l'esclavage, la Société des Nations a défini l'esclavage comme « état ou condition d'un individu sur lequel s'exercent les attributs du droit de propriété, ou certains d'entre eux », (art. 1, paragraphe 1).

154 En principe, les duels sont interdits à partir du XVIe siècle en France. Ils vont en fait continuer, obligeant Richelieu à de très sévères sanctions contre les duellistes. Le Code pénal de 1810 n'en parle pas. À partir de 1837 la Cour de cassation assimilera les duels à des tentatives d'assassinat s’ils ont été convenus à mort.

155 Desdémone est amoureuse d’Othello et repousse Iago. Celui-ci, fou de jalousie, fait croire à Othello qu'elle lui est infidèle : il la tue en l’étouffant.

156 Hermione est fiancée à Pyrrhus. Mais ce dernier aime sa captive, Andromaque. Par jalousie, Hermione persuade Oreste de tuer Pyrrhus.

157 Cf. E.de Greef, Amour et crimes d'amour, Editions Vandenplas, 1942 ; réédité par Charles Dessart, Bruxelles, 1973. Pour des ouvrages plus récents, cf. : J.Guillais, La chair de l'autre, le crime passionnel au XIXe siècle, Paris, Olivier Orban, 1986 ; L.Jyl, La jalousie dans tous ses états-Les crimes passionnels, Paris, Plon, 1993 ; S.Paugham, Crimes passionnels, Paris, Calman Levy, 1988 ; A.Horul-P.Mercader, Le crime passionnel : pratiques des hommes, pratiques des femmes, Le journal des psychologues, juillet-août 1995 ; F. Pascal, Le crime passionnel, Mémoire pour le D.E.A. de sciences pénales et sciences criminologiques, Faculté de droit d'Aix-en-Provence, Université d'Aix-Marseille III, 1997.

158 Selon un sondage de la SOFRES a rapporté par Le Nouvel Observateur (nº 1527,10-16 février 1994, p. 4),

60 % des Français estiment qu'il est sain et naturel d'être jaloux.

159. Cf.F.Pascal,op.cit.,15.

160 Pouchkine termina sa brève existence lors d'un duel qui l’opposa à Georges d’Anthès, un officier français au service de la Russie qui s'était conduit de façon inconvenante avec son épouse.

161 Ibid.,242-244.

162 De Greef termine son ouvrage (p. 319) par ces mots : « Parmi la population des prisons, ce criminel passionnel détonne par ce qu'il possède de qualités réelles ; il y est celui en qui l’on se reconnaît le plus facilement ; il est le seul en l’âme duquel on peut retrouver toute la trame de fond de la destinée humaine »

163 Pour ce faire, on se reportera au numéro de la revue Droits consacré à : Rhétorique et droit, 36, décembre 2002, et aux articles de M.-F.Renoux-Zagamé, De la parole de Dieu à la parole de justice : l'éloquence judiciaire selon les juges monarchiques, (3-19) ; D.Truchet, La rhétorique universitaire des juristes contemporains, (57-68) ; P.Littner, Antoine Le Maistre et le dépassement de la rhétorique des citations, (71-84) ; N.Cornu Thénard, L'avènement d'une rhétorique « cartésienne », (99-114) . On consultera également : P.Jestaz, Le beau droit, Archives de philosophie du droit, 40,1995, 14-24 ; S.Joly, La création artistique et l'ordre public, Thèse Droit Montpellier I, 1999.

164 Cf. M.-F.Renoux-Zagamé, op.cit., 4.

165 Cf.P.Jestaz, op.cit., 17.

166 Cf.P.Littner, op.cit., 82.

167 Ibid.

168 G.du Vair, Œuvres, Rouen , 1636, p.216.

169 Cf.D.Truchet, op.cit., 62.

170 Cf.N.Cornu Thénard,op.cit., 99-114.

171 Descartes, Discours de la méthode, VI, AT,VI , 69.

172 Cf. supra, p….

173 Cf. supra, p…

174 Cf. N.Heinich, Pour en finir avec la querelle de l'art contemporain, Paris, L’Echoppe, 1999, 10.

175 « Les dispositions du présent Code protègent les droits des auteurs sur toutes les oeuvres de l'esprit, quesl qu'en soenit le genre, la forme d'expression, le mérite ou la destination ».

176 Par exemple : Crim. 13 fév. 1969,D., 1969. 323.

177 P.Jestaz,op.cit., 16.

178 Duez, Police et esthétique de la rue, D.H., 1927, p. 17.

179 Cf. S.Joly, La création artistique et l'ordre public, Thèse droit Université de Montpellier I, 1999,164-171.

180 Cf .P.-Y.Gautier, Propriété littéraire et artistique , Paris, P.U. F., 1999,61-64.

181 Cf.P.Beaussant,op.cit., 99.

182 Il a écrit : « Les Français n'ont pas de musique, et s'ils en ont une, c'est tant pis pour eux ».

183 Cf. F.Sabatier,op.cit.,111.

184 P.Beaussant,op.cit.., 102-103.

185 Cf.A.Piéjus, Sous l'empire des passions, dans : Figures de la Passion,op.cit., 134-137.

186 Le propriétaire du château de Cormartin (Saône-et-Loire) a justement fait le choix conscient d’engazonner les allées de ses jardins par ailleurs restaurés « à la française », estimant que cela correspondait mieux à notre sensibilité actuelle. (Cf.M.Simonet-Lenglart, Les jardins du château de Cormartin, dans : Le jardin à la française, de la Renaissance à nos jours,op.cit., 25).

187 Les animaux eux-mêmes peuvent être l'objet de ce genre d'entreprise, ainsi que le révèlent les traités d'équitation de l'époque : par le dressage- considéré aujourd'hui encore comme la quintessence de l'art équestre- on peut faire exprimer au corps du cheval des figures qui révèlent toutes ses capacités sans pour autant le violenter, ni le « dénaturer ». Bien au contraire, tous les auteurs insistent sur l'importance de l'harmonie et de l'élégance, du calme, de la soumission consentie de l'animal. Ce qui distinguerait le dressage académique de celui du cirque, considéré comme plus frustre, moins respectueux du cheval.

188 Au demeurant, elle ne consiste pas toujours dans une stricte reproduction de la nature. Les piscines, qui agrémentent les maisons de campagne, ne sont pas seulement des endroits pour nager, mais remplissent aussi la fonction ornementale des anciens bassins (on vend même dans le commerce des accessoires qui permettent de d'y organiser des jets d’eau...). Et les pratiques populaires qui consistent à peupler les jardinets de « nains de jardins » traduisent un retour inattendu de la mythologie dans nos espaces verts.

189 En 1726, dans son Traité de l'harmonie réduite à ses principes naturels, Rameau précise même que s'il n'y a pas de texte, le compositeur «... s'imagine un sujet (...) qui le tient dans le même asservissement ».

190 En 1771, le chancelier Maupeou enjoint aux Parlementaires de “ réunir enfin, autant qu'il sera possible, la France sous l'empire des mêmes lois ”. Dans son “ Compte-rendu au roi de 1789, il rappelle le projet de “ réunir toutes les dispositions communes à toutes les coutumes dans un Code général de la France ”. En 1787, le contrôleur général des finances Calonne se plaint : “ On ne peut pas faire un pas dans ce vaste royaume sans y trouver des lois différentes, des usages contraires, des privilèges, des exemptions, des affranchissements, des droits et des prétentions de toute espèce ; et cette dissonance digne des siècles de la barbarie et de l'anarchie complique l'administration, interrompt son cours, embarrasse ses ressorts et multiplie partout les frais et le désordre... ”, (cit. par J. M. Carbasse, Unité et diversité dans l'ancienne France, dans : P.Villard-J.M.Carbasse (dir.), Unité des principaux Etats à la veille de la Révolution, Paris, Institut d'histoire du droit de l'Université René Descartes, 1992,5.

191 En ce sens, cf. J. M. Carbasse, La langue de la nation et les “ idiomes grossiers ” : le pluralisme linguistique sous le niveau jacobin, dans : H. van Goethem-L.Waelkens-K.Breugelmans (ed.), Libertés, pluralisme et droit-Une approche historique, Bruxelles, Bruylant, 1995, 162.

192 Boutaric à Toulouse, J.E.Serres à Montpellier, Maurot à Pau, Jaume à Perpignan, Delphin de Lamothe à Bordeaux. À Aix-en-Provence, Jean -Joseph Julien publie à la demande des États de la province un riche commentaire des statuts de Provence.

193 R.Sabatier,op.cit.,552, donne la liste des principaux spectacles musicaux de la seconde moitié du XVIIIe siècle situés en totalité ou partie dans les milieux paysans français.

194 Cf.J.Mongrédien, Du côté de la musique, dans : L'invention du sentiment, Paris, Musée de la musique-Cité de la musique-Réunion des musées nationaux, 2002,36-39.

195 C’est Mozart qui souligne.

196 Cf.C.Rosen, Le style classique-Haydn,Mozart, Beethoven, Paris, Gallimard, 1978,368.

197 Ibid., 222.

198 Ibid.,39.

199 Cf N.Rouland, La Raison, entre musique et droit : consonances, dans : Droit et Musique, Aix-en-Provence, Prasses universitaires d’Aix-Marseille III, 2001,109-192.

200 Platon, Le Sophiste, 259 e.

201 Cf.B.Oppetit, Philosophie de l'art et droit de l'art, Archives de philosophie du droit, Tome 40,1995, 198-199.

202 Cf.A.-L.Angoulvent, Hobbes ou la crise de l'Etat baroque, Paris, PUF, 1992.

203 Cf.A.-L.Angoulvent, L'esprit baroque, Paris, PUF, 1994, 48 sq., 71.

204 Première leçon au Collège de France du cours de poétique, dans P.Valéry, Oeuvres, La Pléiade, Tome I, 1341-1342 ; adde : Discours sur l'esthétique, ibid., 1294.

205 Mais cette stabilisation laisse pour encore quelques décennies une liberté certaine à l'interprète. Couperin déclarait : “ Nous écrivons une chose et en jouons une autre ”. Preuve a contrario, certains interprètes de Bach se plaignaient du peu d'autonomie qu'il leur laissait.

206 “... le légalisme représente le cartésianisme au sein du droit, tout comme à l'inverse, mais de façon moins sensible, le cartésianisme représente le légalisme en anthropologie et en philosophie ”, ( Jan M.Broekman, Droit et anthropologie, Paris, LGDJ, 1993,113-114).

207 C'est donc un contemporain de Rameau ( 1683-1764), qu'il dut croiser à la Cour. Ont-ils parlé des rapports entre le droit et la musique ? (Rameau fut nommé en 1745 au poste officiel de “ compositeur de la musique de la Chambre ”).

208 Cf. J. Gaudemet, op cit., 348-351.

209 D'autres institutions musicales existaient, d'origine plus ancienne : la Chapelle, l'Ecurie, la Chambre.

210 Passionné de musique, il entretenait un des plus beaux orchestre de Paris.

211 Sur Louis XIV et la musique, cf. P.Beaussant, Jean-Baptiste Lully, le musicien du soleil, Paris, Gallimard, 1992 ; Les plaisirs de Versailles, Paris, Fayard, 1996 ; Louis XIV artiste, Paris, Payot, 1999.

212 Cf. L.Debampour- Tarride, La création de l'Académie royale de musique-Théorie et pratique de l'absolutisme français, dans : H.Dufourt- J.M.Fauquet (dir.), La musique et le Pouvoir, Paris, Aux amateurs de livres, 1987,40. Cependant, la concentration des privilèges dans les mains d'un individu ou d'une famille (du XVIIe à la fin du XVIIIe, la famille Balard, imprimeurs de la musique du roi, régna sur la musique française dans la totale soumission au pouvoir : cf. G.Durosoir, La musique dans la liturgie du pouvoir, dans : H.Méchoulan-J.Cornette (dir.), L’État classique- Regards sur la pensée politique de la France dans le second XVIIe siècle, Paris, Librairie philosophique J.Vrin, 1996,300-301.

213 Cf.supra,…

214 Nous l'avons déjà noté :cf.supra,

215 Platon déjà y procédait. Pour lui, seul le mode dorien était vraiment grec et viril, les non- grecs consistant en harmonies efféminées. 150 ans plus tôt, Damon avait catégorisé les modes utilisés dans le système musical grec en donnant à chacun un caractère spécifique : viril et grave pour le dorien, plaintif pour les harmonies lydiennes, amollissant et lâche pour le ionien, violent et martial pour le phrygien.

216 On se réfèrera ainsi au tableau dressé par A.Piéjus qui compare les classifications de Charpentier, Rousseau, et Rameau (cf. Figures de la passion, op.cit.,273.

217 Il y eut même à cette époque un snobisme de la compétence. Chabanon (1730-1792), violoniste et érudit écrit ainsi : « J'ai vu de ces perroquets mal sifflés, louer dans telle musique la richesse de l'harmonie, lorsque l'harmonie, pauvre et stérile, séjournait, croupissait sur les mêmes accords. J'en ai vu qui se récriaient sur le charme des modulations, avant que l’air ait quitté le mode principal. Ceux qui ne sont pas initiés à Art, ne sauraient trop s'abstenir d'en parler avec quelque air scientifique ».

218 Cf.C.Lévi-Strauss, Regarder, écouter, lire, Paris, Plon, 1993,43-52.

219 Cf. Les instruments de musique dans la peinture baroque, Dossier de l'art hors-série de L'objet d'art, nº 82, décembre 2001-janvier 2002.

220 Cf.G.Gillison, L'horreur de l'inceste et le père caché : mythes et saignées rituelles chez les Gimi de Nouvelle-Guinée, dans : Le père, Paris, Denoêl, 1989,205- 206.

221 Pour une critique du parallèle entre la musique et les autres langages, cf. B.Sève, L'altération musicale, Paris, Le Seuil, 2002, 263-276.

222 Pour plus de détails, cf.R.Legrand, Comprendre la musique baroque à travers ses formes, Arles, Harmonia Mundi, 1997.

223 Pour plus de détails,cf. le CD-ROM : L'univers de Bach, Arles, Harmonia Mundi, 2000.
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