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S![]() 27 juillet – 4 août 2007 Dossier de presse Cet été, l’Europe de l’art se donne un nouveau rendez-vous à Salzbourg ![]() Sommaire Pourquoi Salzbourg ? p. 3 - Salzbourg ou vivre comme un art - Fragments d’une histoire d’art de vivre - Interview de Bruce Lamarche, initiateur de la Swfaf Comment se dessine la première édition de la Swfaf ? p. 7 - La Swfaf, un savant mélange d’élitisme et d’éclectisme - Interview de Patrick Hourcade, concepteur de la Swfaf - Le comité d’honneur de la Swfaf Destination culture p. 9 - L’expertise ACS dans l’organisation d’événements culturels de qualité - A Salzbourg : découverte de la Landkartengalerie Informations pratiques p.11 - Où ? - Qui ? - Quoi ? - Comment ? Et en toile de fond : le Festival de Salzbourg p.13 - Le Festival de Salzbourg en quelques notes - Au programme du Festival de Salzbourg Pourquoi Salzbourg ? Salzbourg, ou vivre comme un art Eté 2007 : la ville de Mozart s’apprête a accueillir la premiere édition de la Salzburg World Fine Art Fair. Au cœur de l’Europe, patrimoine mondial de l’Unesco, Salzbourg n’est pas seulement une capitale estivale de la culture, c’est aussi l’une des villes les plus représentatives pour la qualité de vie qu’elle offre. Depuis l’antiquité, le sel - qui a donné son nom à la ville - et l’eau ont apporté à Salzbourg richesse, prospérité et art de vivre. Cette ville-état a développe au cours des siècles un urbanisme théâtral, ce qui lui a valu son surnom de « Rome des Alpes ». grâce à son célèbre festival de musique, Salzbourg est devenue au 20ème siècle un rendez-vous incontournable de la création ; elle l’est toujours aujourd’hui, à plus fortes raisons. Du 27 juillet au 4 août 2007, à la faveur d’une nouvelle synergie, Beaux Arts et Musique vont se trouver ici réunis dans un cadre magique, investissant tous les coins et recoins d’une ville qui prône l’art jusque dans ses murs. dans l’environnement naturel préservé de la plus belle chaîne montagneuse d’Europe, Salzbourg est ce lieu privilégié où culture et nature font le plus beau mariage, où création et imagination se ressourcent au contact de l’intelligence et l’art de vivre. ***** Fragments d’une histoire d’art de vivre L’histoire de Salzbourg évoque la mémoire d’un grand homme, Wolfgang Amadeus Mozart, et le Festival qui est attaché à son nom. Mais avant d’être le lieu de naissance de Mozart, Salzbourg est une ville qui représente à plusieurs égards le long héritage de la civilisation urbaine européenne. Son unité formelle, son échelle humaine, son rôle historique en Europe centrale et ses monuments inspirés par le rêve de l’italianité en font une œuvre d’art urbaine. Une ville fondée dans un riche environnement naturel Salzbourg doit son existence à un site exceptionnel, situé à l’orée du plateau de Bavière entre montagnes, rivières et marais, ayant vocation à être un nœud de circulation entre le nord et le sud de l’Europe. Ce site condensait toutes les qualités prisées par les Romains, grands fondateurs de villes. C’est ainsi que naquit Juvavia, la ville qui est à l’origine de la naissance de Salzbourg. au VIe siècle l’évêque de Ratisbonne, Saint Rupert, attiré par les atouts naturels du site, obtint du duc de Bavière la possession des restes de la colonie romaine, la fit renaître et prospérer grâce à l’exploitation des bassins à sel situés dans la région : la richesse de Salzbourg - et le pouvoir qui allait en découler - était née ; elle était attachée à la nature. Une ville-principauté à la légitimité spirituelle Saint Rupert fonda une lignée de souverains ecclésiastiques, qui ne s’éteignit qu’en 1805. En 1816, Salzbourg, à la suite des guerres napoléoniennes, fut rattachée à l’Autriche. Les souverains ecclésiastiques inventèrent à Salzbourg les formes et les monuments d’une ville-principauté : une ville aux attributs étatiques, profondément européenne, rassemblant à échelle humaine le siège du pouvoir et de la diplomatie, l’habitation du peuple et celle des princes, les boutiques des marchands et les monuments de la spiritualité. Des préoccupations défensives à la ville comme œuvre d’art : ville haute et ville basse, deux figures de l’identité urbaine européenne à Salzburg Salzbourg porte le souvenir d’une longue histoire d’invasions et de guerres. La forteresse de Hohensalzburg, construite sur le flanc de la petite montagne du Mönschsberg, porte cette mémoire urbaine. Hohensalzburg était une deuxième ville, fortifiée, une ville de repli et de défense en période de guerre. Les débuts de la période de l’embellissement de la ville basse étaient encore marqués par des conflits. Le prince-archevêque Wolf Dietrich von Reitenau régna de 1587 à 1612 et ouvrit cette période. Avant d’être défait, cet allié du pape et ennemi de la Réforme avait modernisé la ville médiévale en détruisant des maisons, en ouvrant les ruelles étroites, en construisant une Résidence des princes-archevêques dans la ville basse, en créant des petites places à l’échelle humaine. La Résidence fut construite dans le style de la Renaissance italienne. En faisant venir à Salzbourg l’architecte italien Scamozzi, Wolf Dietrich von Reitenau créa pour Salzbourg un nouveau rêve : recréer l’italianité sur des territoires de langue allemande. Salzbourg devint ainsi la « Rome allemande ». La cathédrale, construite par Santino Solari dans un style de la Renaissance italienne où perce le style baroque fut inaugurée en 1628. Une galerie couverte liait la cathédrale à la Résidence. L’inauguration fut l’occasion d’un événement musical exceptionnel. Le goût affiché à partir de cette époque pour le style baroque, qui se mêle souvent aux styles roman, gothique ou Renaissance, donna à la ville l’allure d’un théâtre urbain. L’université de Salzbourg fut erigee en 1623. Elle comprenait quatre Facultés : la Théologie, la Médecine, le Droit et la Philosophie. Une galerie des Cartes - Landkartengalerie – fut créée dans la bibliothèque de la Faculté de Droit, située dans l’aile toscane qui prolongeait le bâtiment de la Résidence. Les cartes sont représentées par des peintures murales al secco. Elles symbolisent la richesse de la vie intellectuelle de Salzbourg et son ambition à être une scène de représentation du monde. Salzbourg, ses grandes œuvres et ses grands hommes Acheter des œuvres d’art et attirer des grands hommes à Salzbourg faisait partie de la politique de patronage des princes-archevêques, et retentissait sur la beauté de la ville. Des œuvres de Rembrandt, de Rubens et de Brueghel furent ainsi achetées pour décorer la galerie de la Résidence. Le patronage de la musique se manifesta par la création d’un orchestre de la cour et d’un collège de musique. La ville était le décor naturel des manifestations musicales. Natif de Salzbourg, Mozart eut des relations difficiles avec le prince-archevêque Colloredo, qui l’obligèrent à quitter la ville. Mais la création du Festival, initiative menée en 1917 par Richard Strauss, Hugo von Hofmannstahl et Max Reinhardt, ancra définitivement l’œuvre de Mozart dans sa ville natale. En 1938, après l’annexion de l’Autriche, l’épisode bien connu de la fuite de la famille von Trap, une famille dont les membres avaient formé un chœur, illustre aussi cette riche tradition musicale de Salzbourg. Le souvenir de ces grandes œuvres et de ces grands hommes vit toujours à Salzbourg, sans doute parce qu’ils ont nourri la beauté de la ville. Fabienne Chevallier, historienne de l’art Interview de Bruce Lamarche, Initiateur de la SWFAF
Après une première rencontre à Genève, Yves Bouvier et moi avons fait plus ample connaissance lors de la Moscow World Fine Art Fair 2005. Enclin à vanter Salzbourg et ses atours, j’ai trouvé un écho favorable chez Yves Bouvier et Sixtine Crutchfield, directrice de l’ACS. C’est ainsi qu’est ne le projet d’y organiser une foire intimiste et de grande qualite, avec des exposants remarquables et une audience captive evoluant dans un lieu hors du commun.
D’une part, Salzbourg est une ville très riche sur un plan historique. Dotee d’une brillante université au Moyen-Age, elle exercait dès cette epoque une veritable influence intellectuelle et culturelle sur la region, et bien au-delà. Ce n’est pas sans raison que le site de Salzbourg a ete inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Incroyablement préservé, il temoigne du rayonnement de cette ancienne ville-Etat et de ses liens etroits avec les arts. D’autre part, il règne à Salzbourg une atmosphere fantastique, notamment lors du Festspiel où le public se passionne pour la culture en géneral et la musique en particulier. En créant un salon consacre aux beaux-arts, nous voulons profiter de cette réceptivité et de cet engouement pour la culture, tout en elargissant l’horizon culturel de ceux qui viennent à Salzbourg célébrer l’art. Enfin, Salzbourg demeure un point de rencontre entre le Nord et le Sud, l’Est et l’Ouest. Il y a trois ans encore, Salzbourg accueillait chaque annee un symposium organisé par le Forum Economique Mondial. C’est bien la preuve qu’elle a un rôle a jouer dans le dialogue des cultures.
Nichee au creux de majestueuses montagnes, Salzbourg est une ville où il fait remarquablement bon vivre. A l’image de l’Autriche, Salzbourg est un modele de perfectionnisme en matiere d’écologie et le respect de l’environnement fait l’objet d’une grande attention. Un exemple : sur les lacs de la province salzbourgeoise, les bateaux à moteur sont interdits, si bien que l’eau est potable ! Nous sommes par ailleurs en discussion avec un très grand constructeur automobile mondial pour faire coincider le lancement de la Swfaf avec celui d’une voiture pourvue d’un moteur à hydrogene. Une première mondiale ! Comment se dessine cette première édition de la Salzbourg Fine Art Fair ? La SWFAF, un savant mélange d’éclectisme et d’elitisme Le 27 juillet 2007, inaugure en même temps que le plus célèbre festival de musique au monde, va s’ouvrir pour la première fois à Salzbourg un salon des arts qui se veut chic et diversifié. Sous l’égide de l’Art Culture Studio de Genève avec son président Yves Bouvier, organisateur du Moscow World Fine Art Fair depuis quatre ans déjà, et à l’initiative de Bruce Lamarche soutenu par sa femme Bibi, tous deux passionnes par la capitale de Mozart, la première édition de la Salzbourg World Fine Art Fair promet d’être aussi intime que spectaculaire. Venant essentiellement des quatre coins de l’Europe, les galeries participantes représentent un large panel du marché de l’art actuel. Mais dans cette ville théâtrale et intellectuelle, la présentation se doit d’être particulièrement soignée. En clin d’œil à la scénographie, Patrick Hourcade, concepteur du salon de Moscou, a imaginé les stands disposés dans le grand palais baroque de la Residenz, comme une suite de petits théâtres. Le public attendu est ici fin connaisseur et exigent. Le Festival de Salzbourg, les Amis du Festival, la ville de Salzbourg, tous soutiennent cet événement très attendu qui devrait se développer dans les années à venir, faisant de Salzbourg la capitale d’été des Arts sous toutes ses formes. Interview de Patrick Hourcade, concepteur du Salon
Pour en faire un evenement unique en son genre, il me parait essentiel d’inscrire un salon dans l’histoire même du lieu qu’il occupe. Sa localisation et sa physionomie sont les premières marques de son individualité, de sa particularité. Pour concevoir la Swfaf, je me suis donc appuyé sur les caractéristiques fondamentales de Salzbourg, « Rome des Alpes » et théâtre urbain baroque.
A l’image de Salzbourg qui se caracterise par une harmonieuse mise en scene de l’urbanisme et un attrait pour les perspectives, la Residence reserve surprises et découvertes a celui qui s’aventure dans ces pieces baroques et fastueuses se succédant autour d’une cour rectangulaire. Théâtralement décoré, cet ancien palais des princes-archevêques offre un parcours agréable et cartesien, sur un étage. Ce concept théatral se retrouve dans la présentation même des stands : ils sont en effet surmontés d’un « portico » de 4,5 mètres de hauteur pour 3 mètres de large qui donne une vraie lisibilité de l’extérieur.
Outre la qualité des œuvres présentées, l’accent est veritablement mis sur le cadre et la présentation, dans le respect du lieu qui nous accueille. Via la Swfaf, exposants et collectionneurs sont réunis dans un monde qui invite à une réflexion d’ensemble sur le marché de l’art, de l’archéologie jusqu'à l’art contemporain. Cela suppose que chaque marchand se repositionne en valorisant ce qui le distingue et le renforce grace à une scénographie adequate. Par ailleurs, nous sommes l’un des rares salons à proposer un événément dans l’évenement : il s’agit en l’occurence d’une exposition créée dans la Landkartengalerie en collaboration avec le laboratoire historique de l’université de Salzbourg. Ouverte au public pour la première fois, la Landkartengalerie est situee dans une aile attenant à la Résidence. Ses murs sont ornes de cartes remarquables, realisees a secco. Cette exposition exceptionnelle présente les ouvrages et atlas où les artistes ont trouvé l’inspiration pour peindre ces emouvantes œuvres dont on ignore encore à quelle date précise elles ont été réalisées . Le Comité d’honneur de la SWFAF M. Heinrich Spängler Mme Elisabeth Vavrovsky M. Elisabeth Gürtler Prncesse Marianne Sayn Wittgenstein Sayn Mme Doraja Eberle Prince & Princesse Pierre d´Arenberg Mme Agnes Husslein M. Michi Berger-Sandhofer M. et Mme Donald Kahn M. Albrecht Neuhaus Prince Yusuf Al Sabah Mme Eva O´Neill Destination CULTURE l’expertise ACS dans l’organisation d’evenements artistiques de haute qualite Fondé en 2004 par Yves Bouvier, ArtCultureStudio (ACS) est l’organisateur d’événements culturels. En trois ans, Yves Bouvier est parvenu, via son Salon «The Moscow World Fine Art Fair» (MWFAF), à créer une manifestation d’audience internationale, comparable en Europe de l’Est aux grands rendez-vous que sont la Foire de Maastricht ou la Biennale de Paris. Installé dans le somptueux Manège, le MWFAF réunit chaque année plus de quatre-vingt exposants spécialisés en haute joaillerie, antiquités et œuvres d’art, des premiers chefs d’œuvre sumériens aux expressions les plus récentes de l’art contemporain. D’autres projets importants conduisent ACS en Autriche et à Singapour. Conformément à sa philosophie, ACS choisit chaque fois d’investir un lieu historique - comme en témoigne le choix du Manège à Moscou et de la Résidence à Salzbourg - capable d’accueillir une exposition internationale incontournable, entre tradition et avant-garde. En matière d’organisation, Yves Bouvier est formel : "J’ai pour principe la transparence la plus totale et j’utilise toutes mes connections pour donner une certaine garantie aux exposants qui mettent un point d’honneur à présenter des objets exceptionnels". Outre la création de salons d’art, ACS pilote, depuis son siège genevois, d’autres actions relayées par ses bureaux de Paris, Londres, New-York, Moscou, maintenant Salzbourg et Singapour, bientôt Pékin. ***** A Salzbourg : découverte de la « Landkartengalerie » Attenant a la Résidence des Princes-Archevêques, l’Aile toscane abrite la Landkartengalerie, une émouvante « galerie des cartes » qui sert habituellement de salle de lecture aux étudiants de la faculte de droit. Avec 20 metres de long, 5 metres de large et 6 metres de hauteur sous le plafond, les murs de cette salle sont ornes de cartes constituant une illustration incroyablement rare de l’art pictural du début du 17ème siecle. La récente restauration des cartes a demandé un travail considérable, d’autant plus qu’elles ont été réalisees a secco. La « galerie des cartes » offre un panorama des pays et villes du monde. L’Italie, la Hongrie, l’Allemagne, la France, la Turquie – pour ne citer que ces pays – sont ainsi representées aux côtés de Barcelone, Jérusalem, Prague, Paris, Orléans ou encore Lisbonne... On trouve aussi la représentation historique de l’Empire Romain et celle de l’Empire d’Alexandre Le Grand. A l’occasion de la Swfaf se prépare une exposition inédite, réalisée en collaboration avec le laboratoire historique de l’université de Salzbourg. Pour la première fois, la galerie des cartes va s’ouvrir au public et présenter les ouvrages dont les peintres se sont inspirés pour réaliser ces cartes. Parmi ces précieux ouvrages : le Civitates Orbis Terrarum, un atlas des villes du monde publié en 1572 par Georg Braun et Franz Hogenberg, et le Theatrum Orbis Terrarum, un atlas du globe terrestre conçu par le cartographe Abraham Ortelius et dont le premier volume a vu le jour en 1570. Informations pratiques OÙ? La Résidence Residenzplatz 1 A – 5020 Salzbourg Autriche Mob : + 43 664 769 12 81 Quand ? Vendredi 27 juillet Comite d’ethique : 12h-14h Conférence de presse : 15h-16h Ouverture VIP : 17h-21h Samedi 28 juillet – samedi 4 août Ouverture Grand public : 13h-16h Ouverture VIP : 17h-20:30h Jeudi 2 août VIP Nocturnes : 17h – 22h Qui ? Organisation ArtCultureStudio, S.A. 6, avenue de Sécheron CP 24, CH – 1211 Genève 21 Tel: +41 22 906 15 20/22/26 www.artculturestudio.com Relations presse Allemagne & Suisse Britta Fischer E: bfpr@brittafischer-pr.com T: +49 611 300 877 M: +49 160 633 27 19 Autriche Dr. Margit Skias E: office@skias.net T: +43 662 84 18 79 M: +43 664 41 37 147 France Sylvia Beder E: sylvia@sylviabeder.com T: +33 1 42 18 09 42 M: +33 6 80 89 45 05 Italie Wilma Sarchi E: info@studio75.it T: +39 02 8051826 M: +39 335 523 14 39 Royaume-Uni & USA Marylin White E: mwhitepr@aol.com T : +1973 783 3649 Russie Anna Svergun E : svergun@inbox.ru T : +7 495 209 7498 … et pour plus d’informations : www.salzburg-faf.com Comment ? Obtenir un ticket d’entree a la Swfaf… Par le site www.salzburg-faf.com avec le lien sur : T : +43 (0) 662 8969 E : office@polzer.com www.polzer.com réserver un hôtel ou un restaurant... Par le site www.salzburg-faf.com avec le lien sur : D.O.C. Marketing Sandra Majcen E : sandra.majcen@docmarketing.com T : +43 (0) 662 84 94 32-20 … et en toile de fond : le Festival de Salzbourg Le Festival de Salzbourg en quelques notes La premiere édition du tres fameux Festival de Salzbourg ou Salzburger Festspiele a eu lieu en 1920, sous l’impulsion du metteur en scène Max Reinhardt, de l’écrivain Hugo von Hofmannsthal, appuyes par le compositeur Richard Strauss. Avec environ 240 000 visiteurs chaque été, ce festival – l’un des plus célèbres au monde – est particulièrement réputé pour la musique classique et l’opéra, mais aussi pour le théâtre. Au programme du Festival de Salzbourg Du 27 juillet au 31 août 2007, le Festival de Salzbourg propose des variations sur le theme « La face cachée de la raison ». Orchestre par un nouveau directeur artistique, Jürgen Flimm, le programme d’opéras met plein phare sur des pièces jamais ou rarement interprétées lors du Festival. "Eugène Onéguine" de Tchaïkovski sera représenté au Grand Palais des Festivals sous la direction de Daniel Barenboim de même que "Benvenuto Cellini" d’Hector Berlioz avec Valery Gergiev à la baguette. Le Petit Palais des Festivals (Maison pour Mozart) accueillera, outre les „Noces de Figaro" de 2006, un nouveau "Freischütz" sous la régie de Falk Richter. Dans le Manège des Rochers, Christof Loy mettra en scène "Armida" de Joseph Haydn et Ivor Bolton dirigera cette oeuvre qui marquera l’ouverture du Festival. Côté théâtre, Luk Perceval va présenter son projet Molière auquel il travaille depuis près d’un quart de siècle : „Molière. Une Passion“ sur la Perner-Insel à Hallein. "Quatuor" de Heiner Müller est prévu comme production même du Festival. "Une fête pour Boris" de Thomas Bernhard sera présentée en coproduction avec Düsseldorf et le "Songe d’une Nuit d’été" de Shakespeare en coopération avec le Schauspielhaus de Zurich. Concernant les concerts, l’accent est mis sur Robert Schumann, Giacinto Scelsi et l’Orchestre de la Jeunesse "West-östlicher Divan". Pour plus d’informations… Postfach 140, A-5010 Salzburg tel.: ++43 / 662 / 80 45-500, fax ++43 / 662 / 80 45-555, info@salzburgfestival.at www.salzburgfestival.at |
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