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13 octobre 1915 -- Empire ottoman : Ourfa. - Interview de Mrs. J. Vance Young, témoin oculaire des événements d'Ourfa. Publiée dans l' « Egyptian Gazette » du 28 septembre / 11 octobre, et reproduite par le journal arménien « Houssaper » du Caire, le 30 septembre / 13 octobre 1915.

Mrs. J. Vance Young est la femme d'un médecin anglais de Beyrouth1, Elle arriva en Egypte à bord du croiseur américain « Chester ». Elle fut parmi les derniers arrivants d'Alexandrette en Egypte et apporta d'horribles détails sur le martyre des Arméniens d'Ourfa. Elle avait été un témoin oculaire des événements de cette ville de triste mémoire, qui a été si souvent arrosée du sang des Arméniens.

Imprescriptible : Le livre bleu du gouvernement britannique concernant le traitement des Arméniens dans l’Empire ottoman

http://www.imprescriptible.fr/documents/livre-bleu/d63.htm
13 octobre 1918 -- Empire ottoman : Talaat et Enver quittèrent leurs ministères. Izzet devint Premier Ministre et ministre de la Guerre. Il négocia aussitôt un armistice et envoya avec un émissaire turc le major anglais Townshend qui était depuis deux ans le prisonnier anglais de grade le plus élevé, auprès des Anglais. La commission d'armistice fut constituée à la fin octobre. Le sultan tenait à ce que son beau-frère, Damad Ferid pacha, la dirigeât. Mais Izzet l'écarta et ce fut Raouf bey qui partit pour Moudros où l'armistice fut signé le 30 octobre avec l'amiral Calthorpe, représentant la Grande-Bretagne.

Ternon, Yves. Enquête sur la négation d'un génocide, Marseille, Parenthèses, 1989

Imprescriptible : La commission Mazhar

http://www.imprescriptible.fr/ternon/1_chapitre3
13 octobre 1921 -- Turquie : une Conférence fut tenue à Kars, entre lesdites Républiques et la Turquie avec la participation du gouvernement des Soviets ; et un traité fut signé, entre tous ces États, dans cette ville, le 13 octobre 1921. Ce traité ne modifia les dispositions du traité de Moscou sur les Républiques caucasiennes qu’en ce qui concerne la Géorgie : la Turquie consentait à rétrocéder à cette dernière la ville et le territoire de Batoum, à titre de province autonome (art. 6). Cette rétrocession, faite sous la pression bolcheviste, était le prix de l’aide en argent et en matériel de guerre que les Soviets avaient prêté aux Kémalistes contre les Grecs. La Turquie, par contre, conserva les terres conquises sur l’Arménie, les territoires d’Ardahan et de Kars. La province de Nakhitchévan fut de même maintenue sous le protectorat de l’Azerbeïdjan (art. 5).

Mandelstam, André. La Société des Nations et les Puissances devant le problème arménien, Paris, Pédone, 1926 ; rééd. Imprimerie Hamaskaïne, 1970.

Imprescriptible : Relations turco-russes après la conclusion de l’accord d’Angora

http://www.imprescriptible.fr/mandelstam/c13/p3
13 octobre 1923 -- Ankara devient la nouvelle capitale de la Turquie.

Nouvel Obs : L'éphéméride du jeudi 13 octobre 2011

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20111013.FAP6580/l-ephemeride-du-jeudi-13-octobre-2011.html
13 octobre 1939 -- Le haut commandement de l’armée allemande ordonne que les Juifs de Lodz (Pologne) fournissent chaque jour 600 travailleurs.

Skynet : 13 octobre, ce jour-là, n’oubliez pas

http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2010/10/14/13-octobre.html
13 octobre 1941 -- Les Juifs de Storozynetz (Bucovine, R.S.S. d’Ukraine) déportés en transnitrie sont envoyé ) pied vers Markulesti. Ils y arrivent totalement épuisés, victimes de la faim et des balles des gardes allemands et roumains.

- Les S.S assassinent 350 Juifs à Verba (Volhynie).

- 7.000 Juifs tués à la mitrailleuse à Dnepropetrovsk.

Skynet : 13 octobre, ce jour-là, n’oubliez pas

http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2010/10/14/13-octobre.html

13 octobre 1942 -- 1.900 Juifs d’Ivaniska (district de Kielce, Pologne) sont déportés au camp d’extermination de Treblinka.

- Les S.S assassinent 1.800 Juifs à Mizocz (Volhynie, R.S.S. d’Ukraine)

Skynet : 13 octobre, ce jour-là, n’oubliez pas

http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2010/10/14/13-octobre.html
13 octobre 1942 -- Ukraine : dans la nuit de 13 octobre 1942, les SS et la milice ukrainienne, commandés par le SS-Hauptsturmführer Willy Blum, cernent le ghetto de Piotrkow Trybunalski . A 2 heures du matin le 14 octobre, l'« Aktion » commence. Commandée par le SS-Sturmbannführer Feucht, elle va durer huit jours. Maison par maison, le ghetto est fouillé. Environ 1.000 personnes, principalement les malades et les vieilles personnes sont tuées sur place. Les autres sont amenés au point de rassemblement. Deux groupes sont formés : environ 2.000 juifs qui possèdent des cartes de travail sont sélectionnées et reviennent au ghetto. Le reste, soit environ 22.000 personnes est transféré à Treblinka en quatre convois et immédiatement gazé. Plusieurs témoins ont survécu et décrit les événements.

BS Encyclopédie : Le ghetto de Piotrkow Trybunalski

http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article.php?pArticleId=100&pChapitreId=9130&pArticleLib=Les+d%E9portations+%5BLe+ghetto+de+Piotrkow+Trybunalski%5D
11 au 13 octobre 1942 -- Ukraine : 4.000 Juifs sont envoyés à Belzec, dont les enfants de l’orphelinat de Kolomyja. Le ghetto est réduit au ghetto A. Mais il est encore surpeuplé. De nombreux enfants, abandonnés, vivent dans la rue, mendiant une maigre nourriture. La plupart périssent de faim.

BS Encyclopédie : Le ghetto de Kolomyja

http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article_complet.php?pArticleId=95&articleLib=Le+ghetto+de+Kolomyja

Compilation réalisée par le site www.collectifvan.org

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=57919



    1. Les textes qui suivent constituent une Revue de Presse des articles parus dans les médias sur les sujets que le Collectif VAN suit au quotidien. A ce titre, s'ils ne représentent pas toujours (hélas) l'opinion de notre association, il est utile d'en prendre connaissance pour éventuellement y réagir de manière appropriée.



    1. TURQUIE

Des milliers de rassemblements en Turquie, entre tristesse et colère

Par RFI

Publié le 12-10-2015 Modifié le 13-10-2015 à 02:47

Deux jours après le terrible attentat qui a secoué Ankara, la capitale, un dernier bilan fait état d'au moins 97 morts et 507 blessés. 65 sont toujours dans un état grave. D'après le gouvernement turc, cette attaque, la plus meurtrière de l'histoire turque, a très probablement été menée par des jihadistes de l'organisation de l’Etat islamique. Il a déclaré l'instauration de trois jours de deuil national, deuil qui débutait ce lundi. Les funérailles des victimes ont viré en manifestations. Dans tout le pays, les habitants se sont rassemblés en signe de tristesse, mais aussi de colère contre le président turc Recep Tayyip Erdogan, accusé d'attiser les tensions.

Des milliers de rassemblements ont eu lieu dans tout le pays ce lundi, que ce soit pour les funérailles des victimes du double attentat d’Ankara ou pour des marches ou des veilles de protestation, le plus souvent spontanées, rapporte notre correspondant à Istanbul, Jérôme Bastion. Des milliers de personnes sont ainsi descendues dans les rues pour condamner cet attentat et pour dénoncer les violences pré-électorales d’une manière générale.

Des rassemblements ont aussi été organisés par les travailleurs en grève, sous forme de sit-in ou de débrayage sur leur lieu de travail. Cette grève générale, appelée par les syndicats de gauche est particulièrement suivie, explique notre correspondant à Istanbul, Alexandre Billette. Dans certaines universités, les étudiants ont boycotté les cours. Parfois, les recteurs ont tout simplement annulé les activités de la journée. Certaines municipalités et certains arrondissements d'Istanbul ont emboîté le pas en mettant la clé sous la porte, jusqu'à la fin de la grève qui doit durer deux jours. Dans certaines villes du sud-est à majorité kurde, les commerçants ont baissé leur rideau.

Bien souvent, surtout dans le sud-est du pays où est instauré un état d’urgence de fait, la police a réprimé ces rassemblements, dispersant brutalement la foule et tirant même parfois à balles réelles, comme à Diyarbakir, où une petite fille a été tuée.

Colère contre le gouvernement

Tous veulent dire non au terrorisme, non à la répression policière et non à la peur. Dans l’ensemble, ces rassemblements se voulaient pacifiques et chacun y arborait un petit nœud noir sur la poitrine en signe de deuil. Néanmoins, les slogans visant Recep Tayyip Erdogan et sa politique de tension et de confrontation étaient de bon ton.

Chez les grévistes, la colère était elle-aussi canalisée contre le gouvernement turc, jugé négligent voire responsable des explosions à Ankara.

A trois semaines des élections législatives anticipées, dont le Premier ministre Ahmet Davutoglu a confirmé la tenue, le pays est sous tension, à tel point que le parti pro-kurde HDP, visé par l'attentat de samedi, a annulé pour des raisons sécuritaires tous ses meetings politiques jusqu'à la fin de la campagne.

http://www.rfi.fr/europe/20151012-turquie-milliers-rassemblements-entre-tristesse-colere-double-attentat-ankara

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=92085

Adiyaman, le bastion turc du jihadisme

Libération

Par Ragip Duran, à Istanbul — 12 octobre 2015 à 17:32

A 150 km de la frontière syrienne, cette «capitale de la misère» en proie avec l'Etat islamique a fait naître de nombreux terroristes. Selon certaines sources sécuritaires, l'un des auteurs du carnage d'Ankara, qui a eu lieu samedi dernier, en serait originaire.

C’est une petite ville poussiéreuse de 290 000 habitants située dans une cuvette du Sud-Est turc, au milieu des derniers contreforts du plateau anatolien, à quelque 150 kilomètres à vol d’oiseau de la frontière syrienne. Adiyaman est une capitale de la misère, avec 15,6 % de chômeurs – taux officiel – mais plus du tiers de la population y travaille au noir, sans sécurité sociale. La construction du grand barrage Ataturk sur l’Euphrate a même réduit les terres cultivables du département. Aujourd'hui, Adiyaman est devenue la capitale du jihadisme en Turquie. «Adiyaman présente une grande menace à cause des activités de l’Etat islamique (EI)», souligne Umut Oran, ancien député de CHP (Parti républicain du peuple), la principale force de l’opposition de gauche qui avait, en juillet dernier, fait sur place une recherche sur les réseaux jihadistes et leurs cellules dormantes.

L’un des deux kamikaze auteurs du carnage d’Ankara pourrait être Yunus Emre Alagöz, selon des sources sécuritaires turques. Il est le frère aîné d’Abdurrahman Alagöz, lui-même auteur présumé de l’attentat suicide à Suruç, le 20 juillet, qui fit 33 morts parmi des militants de gauche et kurdes, en meeting dans cette petite ville du sud – non loin de Kobané, la capitale de la résistance kurde en Syrie. Tous deux sont originaires d’Adiyaman, et passés en Syrie en janvier, selon la police. Autre natif du lieu : Orhan Gönder, arrêté après l’attentat à la bombe de Diyarbakir, qui ensanglanta le 5 juin le dernier meeting de campagne du HDP, le parti pro-kurde légal, longtemps considéré comme une vitrine légale de la guérilla du PKK. Tous les trois sont kurdes. Orhan Gönder est d’une famille alevie, secte moderniste issue du chiisme, considérée comme hérétique par les sunnites radicaux. Mais au grand dam des siens, il avait rejeté la foi familiale pour plonger dans l’islam le plus radical.

«La forteresse de l'Etat islamique»

«Adiyaman est la ville des cellules dormantes de l’EI et l’implantation du groupe y est visible à l’œil nu», souligne diken.com.tr, site indépendant d’information. Pour les médias turcs, elle est désormais considérée comme «la forteresse de l’Etat islamique», car plus de 200 jeunes originaires du lieu ont rejoint les jihadistes depuis 2013. Selon certaines estimations, leur nombre pourrait être encore plus important, jusqu'à 300. Les services secrets turcs (MIT), selon des informations publiées il y a un mois par le quotidien Hurriyet, estiment à plus de 3 000 les ressortissants turcs combattant en Syrie dans les divers groupes jihadistes. Une partie d’entre eux sont des Kurdes.

Déjà, dans les années 90, les services de renseignement turcs avaient encouragé le radicalisme religieux parmi les plus conservateurs des Kurdes, dans le cadre de la lutte contre le PKK, à l’époque indépendantiste et marxiste-léniniste. Ainsi fut créé Hezbollah (rien à voir avec son homonyme libanais), qui fut démantelé au début des années 2000. Mais des anciens du Hezbollah furent les auteurs des quadruples attentats-suicides d’Al-Qaeda à Istanbul, en novembre 2003 (63 morts), visant notamment le consulat britannique et une synagogue.

L’islam radical a continué à prospérer dans une région qui, selon le grand spécialiste de l’islamisme turc, Rusen Cakir, est un terreau favorable à l’implantations de groupes radicaux. Un parti, le Hudapar (Le Parti de la cause libre), une sorte de continuation légale du Hezbollah, a même présenté neuf candidats indépendants dans les villes kurdes aux élections de juin, sans succès. Régulièrement, ses militants s’affrontent avec ceux du HDP. Pour les jihadistes kurdes qui se sont organisés en marge de ces mouvements, le PKK et la gauche sont les principaux ennemis. D’où les cibles choisies par la filière d’Adiyaman.

Silence des autorités locales

Cette histoire explique les ambiguités du pouvoir, qui longtemps a préféré ne rien faire à Adiyaman. Dès juillet, Umut Oran avait, dans un rapport, posé sept questions sur cette prolifération jihadiste locale au Premier ministre Ahmet Davutoglu, de l’AKP, qui n’a toujours pas répondu. L’ancien député de la principale formation de l’opposition désirait savoir combien de jeunes avaient rejoint l’EI et la raison du silence des autorités locales en ce qui concerne les plaintes déposées des 18 familles qui avaient donné les noms et les adresses des intermédiaires qui recrutaient leurs enfants. Il voulait également connaître les résultats de l’information ouverte par le parquet d’Adiyaman contre plus de 200 personnes accusées d’appartenir à l’EI. Les médias turcs avaient déjà publié des informations sur les activités d’EI à Adiyaman.
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