Provenant de la succession de Monsieur et Madame Jean Haegel







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1

Provenant de la succession de Monsieur et Madame Jean Haegel.

Vendu au profit de l’Institut Pasteur, Paris.

Anton Heinrich DIEFFENBACH (1831-1914)

Paysage au ruisseau, 1881.

Huile sur toile, marouflée sur carton, signée et datée en bas à droite.

30 x 60 cm

Prove nance :

Succession de Monsieur et Madame Jean Haegel.

600/800 €
2

Provenant de la succession de Monsieur et Madame Jean Haegel.

Vendu au profit de l’Institut Pasteur, Paris.

Anton Heinrich DIEFFENBACH (1831-1914)

Le buisson, 1884.

Huile sur toile, marouflée sur carton, signée et datée en bas à droite.

Monogrammée et datée Oct. 84.

17,5 x 16,5 cm

Prove nance :

Succession de Monsieur et Madame Jean Haegel.

400/600 €
3

Jean COMMÈRE (1920-1986)

Bateaux dans l’estuaire

Huile sur panneau, signé en bas à gauche.

16,2 x 22 cm

600/800 €

4

Victor Gabriel GILBERT (1847-1935)

Nu dans un sous bois

Huile sur panneau, signé en bas à gauche.

109,5 x 64,2 cm

6 000/8 000 €
5

Jacques Henri DELPY

(1877-1957)

Bords de rivière au crépuscule

Huile sur toile, signée en bas à droite.

60 x 92 cm

Petite restauration au dos.

1 000/1 500 €
6

Provenant de la succession de Monsieur

et Madame Jean Haegel.

Vendu au profit de l’Institut Pasteur, Paris.

Édouard HIRTH (1885-1980)

Colmar, 1924.

Huile sur toile, signée en bas à gauche.

46 x 38 cm

Prove nance :

Succession de Monsieur et Madame Jean Haegel.

400/600 €
7

Alexandre DEFAUX (1826-1900)

Basse cour sous un cerisier en fleurs.

Huile sur toile, signée en bas à droite.

93 x 39,5 cm

4 000/6 000 €
– 8

Eugène KISSLING (1871-1944)

Dimanche d’Été au bord de la Marne.

Huile sur toile, signée en bas à droite.

73,5 x 92,3 cm

Restauration

800/1 200 €
9

Henri AURRENS (1873-1934)

Petit pommier

Huile sur panneau, signé en bas à gauche.

21,8 x 15,8 cm

300/400 €
10

Yvonne CANU (1921-2007)

St Tropez

Huile sur toile, signée en bas à droite.

33 x 41 cm

2 500/3 500 €

11

Marc CHAGALL (1887-1985)

Ange, 1977.

Technique mixte sur page de garde de l’ouvrage « Marc Chagall

Peintures récentes 1967-1977 » dédicacé en haut à droite,

signé et daté en bas à droite.

32,5 x 25 cm (à vue)

Prove nance :

Collection privée, Paris.

Un certificat du Comité Chagall sera remis à l’acquéreur.

4 000/6 000 €
12

Provenant de la succession de Monsieur

et Madame Jean Haegel.

Vendu au profit de l’Institut Pasteur, Paris.

Marc CHAGALL

(1887-1985)

Le peintre, 1949

Encre et lavis sur papier, dédicacé

« Pour Monsieur Haegel », signé et daté

en bas à droite, situé Vence en bas à gauche.

37,7 x 26,8 cm (à vue)

Prove nance :

Succession de Monsieur et Madame

Jean Haegel.

Un certificat du Comité Chagall sera remis

à l’acquéreur.

8 000/12 000 €
13

Provenant de la succession de Monsieur

et Madame Jean Haegel.

Vendu au profit de l’Institut Pasteur, Paris.

Marc CHAGALL

(1887-1985)

Nu à la corbeille de fruits,

1953-1954.

Lithographie, signée en bas à droite

et numérotée 62/75 en bas à gauche.

50x 65 cm

Prove nance :

Succession de Monsieur et Madame

Jean Haegel.

Bibliographie :

Chagall lithographe, par Julien Cain, notices

Fernand Mourlot, André Sauret Éditeur, 1960.

Reproduit sous le numéro 91.

1 500/2 000 €
14

Pierre-Eugène MONTEZIN (1874-1946)

Les bords de l’Aure

Huile sur toile, signée en bas à gauche.

50,5 x 65 cm

Prove nance :

Collection privée, Paris

Un certificat par Monsieur Klein-Montezin sera remis à l’acquéreur.

10 000/12 000 €

15

Provenant de la succession de Monsieur et Madame Jean Haegel.

Vendu au profit de l’Institut Pasteur, Paris.

Pierre-Auguste Renoir (1841-1919)

Portrait de jeune femme au chapeau fleuri, 1903.

Huile sur toile sur son chassis d’origine, signée en bas à droite.

Porte la date 1903 et le numéro 40 de la vente Gangnat inscrit à l’encre

sur le châssis au dos.

39,5 x 32 cm

Prove nance :

Collection Maurice Gangnat.

Vente Maurice Gangnat du 24 et 25 juin 1925, Hôtel Drouot Paris

par Maître F. Lair Dubreuil et M. Jos. Hessel, expert, Paris.

Reproduit au catalogue de la vente sous le numéro 40.

Collection Jules Haegel, France.

Collection Monsieur et Madame Jean Haegel par descendance.

Bibliographie :

Catalogue de la vente Maurice Gangnat, du 24 et 25 juin 1925, Hôtel Drouot

Paris par Maître F. Lair Dubreuil et M. Jos. Hessel, expert, Paris.

Reproduit au catalogue de la vente sous le numéro 40.

Une attestation du Wildenstein Institute sera remise à l’acquéreur.

400 000/600 000 €

Enregistrement obligatoire pour enchérir

Bidder registration requested

L’exposition organisée au Grand Palais en 2009 a permis de voir d’un oeil nouveau

les oeuvres d’Auguste Renoir postérieures aux années 1890. On l’avait oublié,

mais en 1913, le vieux peintre déclarait : «Je commence à savoir peindre. Il m’a fallu

plus de cinquante ans de travail pour arriver à ce résultat.» Sont alors exposés à la

galerie Bernheim-Jeune, entre autres, des grands nus réalisés au tournant du XXe siècle.

Alors que cubisme et futurisme défraient la chronique, Guillaume Apollinaire lui-même

reconnaît en Renoir «le plus grand peintre vivant». Le diktat moderne avait au cours

du siècle précédent porté au pinacle les oeuvres purement impressionnistes du maître

au détriment des autres. Dans les années 1890, Renoir entame un changement,

se définissant lui-même comme «Peintre de figures», privilégiant les portraits et nus

féminins. S’il se détourne des expériences novatrices, il décide de se mesurer aux

grandes figures du passé comme Raphaël, Titien et Rubens, ces deux derniers étant

ses références absolues. En 1903, année d’exécution de notre Femme au chapeau

de fleurs, Renoir parle du «joyeux frémissement de vue qu’on éprouve» devant l’art

de Rubens. Comme le soulignait l’exposition, tournant le dos au monde moderne, l’artiste

préfère le rêve d’une Arcadie intemporelle. Après 1900, il commence à peindre des

formes féminines plus pleines et souvent plus mûres, en place des délicates jeunes

filles des années 1890. S’inscrivant dans cette tendance, notre toile possède en outre

l’avantage d’afficher le pedigree de la collection Maurice Gangnat, dispersée en juin

1925 à Drouot. Cet industriel avait fait la connaissance du peintre au début du XXe siècle

et dès sa première visite, était reparti avec une douzaine de toiles au lieu des deux ou

trois initialement prévues. À sa mort, les murs de son appartement de l’avenue Friedland

comptaient pas moins de 160 peintures de Renoir. La dispersion de sa collection, où

figuraient d’autres artistes, avait à l’époque été considérée comme la plus grande vente

d’art moderne jamais organisée. Elle avait consacré Renoir sur la scène des enchères.

16 17
16

Albert MARQUET (1875-1947)

Nu assis

Encre sur papier, porte le cachet de la signature

en bas à droite.

24,5 x 18 cm (à vue)

400/600 €
16a

Albert MARQUET (1875-1947)

Couple debout

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature

en bas à droite.

17,5 x 10,3 cm (à vue)

400/600 €

Les dessins d’Albert Marquet que nous présentons traitent d’un sujet cher à l’artiste :

le nu. Les compositions érotiques occupèrent l’artiste dans les années 1910-1920.

Ses toiles exposées au Salon d’automne de 1905 lui ont valu certes de vives critiques

mais lui ont apporté une certaine notoriété. Eugène Druet devient ainsi son marchand

et lui consacre, en 1907, une première exposition personnelle. Jouissant d’une nouvelle

aisance financière, Marquet voyage, emménage quai Saint-Michel à Paris dans l’ancien

atelier de son ami Matisse, et engage des modèles. Parallèlement, il redécouvre le dessin

et peut d’un trait sûr croquer sur le vif les jeunes femmes qui posent dans son atelier.

Sans lever la main de sa feuille, l’artiste restitue l’épaisseur des corps, rendant

leur sensualité palpable par le spectateur. Matisse, lui même grand maître du dessin,

admirait sa manière rapide de saisir son motif. Nus et thèmes érotiques ne survivront

pas à sa rencontre avec Marcelle Martinet, qu’il épouse en février 1923.
17

Albert MARQUET (1875-1947)

Couple, dessin érotique

Encre sur papier, porte le cachet de la signature en bas vers la droite.

12,5 x 21,7 cm (à vue)

Déchirures en haut à gauche et en haut à droite. Restaurations, rousseurs.

400/600 €
18

Albert MARQUET (1875-1947)

Couple assis

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas à droite.

17 x 9,8 cm (à vue)

400/600 €
19

Albert MARQUET (1875-1947)

Couple

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas à droite.

10 x 17 cm (à vue)

400/600 €

20

Albert MARQUET (1875-1947)

Couple assis

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas à gauche.

16,8 x 10 cm (à vue)

400/600 €

21

Albert MARQUET (1875-1947)

Nu de dos

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas à gauche.

16,8 x 10 cm (à vue)

400/600 €
22

Albert MARQUET (1875-1947)

Femme allongée,

Encre et encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature

en bas à gauche.

32,5 x 24 cm (à vue)

400/600 €
23

Albert MARQUET (1875-1947)

Femme au tabouret

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas à gauche.

16,5 x 10 cm (à vue)

400/600 €


24

Albert MARQUET (1875-1947)

Couple, après l’amour

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas au centre.

12 x 20,5 cm (à vue)

400/600 €
25

Albert MARQUET (1875-1947)

Nu, jambes croisées

Encre de chine sur papier, porte le cachet de la signature en bas à droite.

26 x 19 cm (à vue)

400/600 €
26

Marc CHAGALL (1887-1985)

Étude pour la Résurrection, 1948.

Huile sur toile, porte le cachet de la signature en bas à gauche.

37 x 25 cm

Prove nance :

Collection particulière.

Cette oeuvre est répertoriée dans les archives du Comité Marc Chagall

sous le numéro 96260.

Cette oeuvre est l’étude pour Résurrection 1937-1948, huile sur toile,

168,3 x 107,7 cm, Paris, Centre Georges Pompidou, conservée

au Musée National Message Biblique Marc Chagall, Nice.

120 000/140 000 €

Enregistrement obligatoire pour enchérir

Bidder registration requested

Peinte en 1948, cette oeuvre de Marc Chagall est une étude préparatoire

pour une importante composition, Résurrection, actuellement conservée

au musée national Message Biblique Marc Chagall de Nice. Cette dernière possède

la particularité d’avoir deux dates d’exécution, 1937 et 1948. Entre ces deux pôles,

le monde a été secoué par le second conflit mondial et la diaspora juive a payé

le lourd tribut que l’on sait, cruellement ressenti par l’artiste. La figure du Christ,

un juif crucifié, va devenir très présente dans l’oeuvre du peintre, cela jusqu’à

la fin de sa vie. Elle incarne bien entendu la Shoah, et plus généralement les

persécutions ancestrales subies par les israélites au cours de l’histoire. En 1937,

Chagall imagine une grande composition, Révolution, destinée à commémorer

le vingtième anniversaire de la révolution russe. La montée de l’antisémitisme

en Europe, la guerre d’Espagne et l’exposition munichoise sur «l’art dégénéré»

– où figurent quelques-unes de ses toiles – sont cette année-là autant de

sujets d’angoisse pour le peintre. En 1941, il est arrêté à Marseille puis relâché

sur intervention du consul américain. Grâce à Varian Fry, il quitte la France via

l’Espagne pour les États-Unis. En 1944, il perd sa femme Bella, tout à la fois

muse et protectrice. Foudroyé, le peintre se remet peu à peu au travail. L’année

suivante, il découpe en trois parties la grande toile de 1937, Révolution, pour en

faire un triptyque sur lequel il va oeuvrer jusqu’en 1952. Résurrection constitue le

centre de cet ensemble, encadré par Résistance et Libération. Dans notre étude,

l’essentiel de la composition finale est en place. Le principal élément manquant

est la figure du peintre lui-même tenant sa palette, représenté tête en bas en

place du halo bleu flottant à la droite du Christ. En haut à gauche, la foule célèbre

la liberté promise par la Révolution. Un homme assis tient la Torah, une femme se

précipite avec son enfant vers la croix, un couple enlacé surplombe une maison...

Le message semble clair : le seul espoir se trouve dans l’amour divin et humain.

Résurrection 1937-1948

huile sur toile, 168,3 x 107,7 cm

Musée National Message Biblique Marc Chagall, Nice.
27

Édouard GOERG (1893-1969)

Le couple, circa 1930

Huile sur toile, signée en bas à gauche. Contresignée et titrée au dos.

65 x 80,5 cm

Prove nance :

Galerie Drouant-David, Paris.

Un certificat de Monsieur Germak sera remis à l’acquéreur.

1 500/2 000 €
28

Pierre TAL-COAT (1905-1985)

Paysage du midi, circa 1941.

Huile sur toile marouflée sur panneau, signée en bas à droite.

24 x 35 cm

1 000/1 500 €
29

Étienne MOREAU-NÉLATON (1859-1927)

L’église de Fère-en-Tardenois, 1903.

Huile sur toile, signée et datée en bas à droite.

55 x 46 cm

700/1000 €
30
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